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BURNEX

Imprégné par les mentors de l'art contemporain français et de la culture tribale des masques et objets divers, Burnex a créé son propre univers au détour des rues de Paris. Ancien étudiant à l'école Boulle (Paris), il organise la construction de ses différents projets malgré l'économie de moyen liée à son âge (18 ans) ; ce qui ne l'empêche pas de travailler et d'exposer à Venise ou en Espagne. Burnex nous fait l'honneur de notre premier Drop, avec deux oeuvres Le Singe et La Jungle n°2.

Réf. KAHOW : CCA01

Meet BURNEX

Imprégné par les mentors de l’art contemporain français et de la culture tribale des masques et objets divers, Burnex a créé son propre univers au détour des rues de Paris. La découverte des autocollants collectés par Jacques Villéglé a été l’un des éléments déclencheurs pour investir l’espace public. Transformant la rue en un lieu d’expression et d’interaction, ses collages et ses actions sont “réversibles”. L’une de ses actions consiste à retourner des affiches publicitaires posées de manière sauvage et illégale par de grandes marques de mode et à les coller à l’envers pour avoir un support blanc sur lequel il intervient à l’encre de Chine.

Ancien étudiant à l’école Boulle – Paris – France, il organise la construction de ses différents projets malgré l’économie de moyen liée à son âge (18 ans).
Ses formes, ses objets et ses personnages interagissent avec les panneaux publicitaires, jouant avec les codes des arts modernes et urbains.

En 2019, il est invité à Venise pour une commande dans une propriété privée et une exposition collective au Spazio Thetis – Arsenal. Pour cette exposition collective, il a réalisé deux œuvres. Golden Mask, un drapeau de grande taille (3m x 3m) de couleur jaune banane sur lequel se détache un masque noir. Le drapeau flotte sur un mur classé du 16ème siècle, créant une nouvelle relation entre le mur et l’art contemporain : touché / non touché, fixé / non fixé. Et la deuxième, Occhi d’Oro qui revisite de manière subtile la tradition de la feuille d’or vénitienne. Là où habituellement un artiste recherche une visibilité maximale, cette œuvre prend le contre-pied en se fondant dans le site. Elle observe les visiteurs qui entrent dans le Spazio Thetis … L’auront-ils vu ?

De retour à Paris – France, Burnex commence à produire des œuvres en lien avec la culture des masques népalais qui donnera lieu à une exposition mêlant masques en acier brut et ceux en bois des peuples népalais créant un contraste étonnant dans la Galerie « Le Toit du Monde » de François Pannier.

En 2020, juste à la fin du lockdown français, alors que certaines de ses commandes privées sont reportées, il lance une galerie pop up pour montrer son travail et les sculptures réalisées avec un autre jeune artiste TAL.

Un an plus tard de retour à Venise pour un mois il réalise un solo show dans la galerie ICI Int. Cultural Institute où il expose une série d’œuvres en lien avec son voyage qu’il fera durant tout le mois d’août en vivant dans la galerie même devenant un lieu d’exposition, de fête et de rencontres en tout genre.

Actuellement, il travaille sur l’interaction entre les formes en tant que langage. Ces formes sont à la fois issues de la vie quotidienne, du courant dominant de la société mais aussi de références historiques.

Une exposition aura lieu cet été 2022 à la fondation Artigas pour inaugurer la création d’un mural en céramique au sein de la fondation. Une occasion de travailler sur un matériau qu’il affectionne tout particulièrement : la terre.

Ses œuvres sont visibles dans des collections privées en France, en Italie et en Espagne, ou sur son compte Insta @burnexproject

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